Mythes populaires sur le Viagra - découvrez la vérité
Le Viagra est toujours été vu comme un produit permettant de gagner de la puissance masculine et des compétences sexuelles. D’ailleurs, il s’agit du stimulant sexuel le plus réputé. Néanmoins, une multitude de rumeurs et de faits non vérifiés circulent aux sujets du viagra. Afin de faire le point et de démêler fiction et réalité, découvrons les mythes populaires sur cette pilule magique.
Addiction à la pilule bleue
En règle générale, les médicaments voient leur niveau de performances fondre comme neige au soleil à la suite d’un usage continu puisque l’organisme prend l’habitude du produit. Pour le viagra pfizer, l’addiction peut se matérialiser sous deux types.
Quand l’être humain devient accro et a envie de prendre une pilule « magique » avant chaque rapport sexuel - c’est un aspect 100 % psychologique. Plus un homme se sert régulièrement du Viagra, plus il est sûr qu’une puissance optimale provient des stimulants sexuels. Ainsi, il va avoir besoin de prendre de plus en plus régulièrement des cachets bleus.
Or, ce qu’il y a au-dessus est vrai seulement de façon partielle. La réponse demeure dans la psychologie de l’homme. Souvent, un unique rapport sexuel est suffisant afin d’effacer les vestiges des craintes passées. En effet, avec une pilule débouchant sur un rapport, l’homme va retrouver sa confiance d’antan. Ainsi, il utilisera du viagra seulement s’il y en a besoin physiquement et sans subir une quelconque addiction psychologique.
À un certain niveau, c’est aussi le cas d’autres médicaments contre les problèmes d’érection. Néanmoins, le degré de l’addiction est en lien avec le mécanisme et la durée de l’action. Par exemple, l’addiction psychologique liée au stimulant sexuel Cialis survient un peu plus aisément, puisque le médicament est performant durant 36 heures.
Le viagra n’a aucun impact sur le cerveau ou la moelle épinière
Le Viagra optimise uniquement la circulation sanguine dans le pénis. Le Sildénafil ne touche pas les récepteurs du cerveau ou ceux de la moelle épinière, qui conçoivent les effets liés à une dépendance. L’addiction physiologique peut être engendrée par les médicaments narcotiques ou par des produits basés sur des éléments semblables. Ce sont des antidépresseurs, psycholeptiques, analgésiques et drogues psychotropes.
Le Viagra n’est pas présent dans ce listing puisqu’il fait partie de la famille des inhibiteurs de la PDE5. Si les comprimés ne permettent pas de vous aider, ce n’est pas par rapport à une dépendance, mais cela est causé par la réaction individuelle de l’organisme à l’élément Sildénafil. Dans ce cas, testez les médicaments pour l’impuissance masculine avec d’autres éléments actifs comme le Cialis ou le Levitra.
Érection incontrôlée durant des heures et des heures
Certains affirment que le stimulant sexuel qu’est le Viagra engendre un priapisme (une érection continue ne disparaissant pas à la suite de l’éjaculation).
Même si cette maladie n’est pas imaginaire, elle apparaît pour des causes diverses et variées, qui ne sont pas en lien avec l’excitation sexuelle. En outre, le Viagra peut engendrer l’apparition du priapisme, mais uniquement si l’être humain présente des pathologies liées.
Afin que cet effet secondaire du Sildénafil ne survienne pas, vous n’aurez qu’à regarder le listing des contre-indications du produit ou voir un professionnel de santé avant le traitement.
Une personne en bonne santé ne doit pas prendre de Viagra
Le Viagra n’optimise pas le désir sexuel et permet seulement de régler le problème de la dysfonction érectile ou de l’impuissance masculine si vous préférez. Si vous êtes en bonne santé, prendre ce stimulant sexuel est tout simplement inutile. Même si ce dernier ne vous fera pas de mal, il ne servira tout simplement à rien.
Si votre puissance est basique, elle ne va pas s’optimiser avec ce produit. Néanmoins, le Viagra peut permettre de hausser votre confiance en vous. Ainsi, votre vie sexuelle sera plus sereine et active.
- Du sildenafil citrate au Viagra® ou l’art délicat de nommer les médicaments; Author: Pascaline Faure
- Last performance with VIAGRA®: post-mortem identification of sildenafil and its metabolites in biological specimens including hair sample; V.Dumestre-Toulet, V.Cirimele, S.Gromb, T.Belooussoff, D.Lavault, B.Ludes, P.Kintz
- “Viagra stories”: challenging ‘erectile dysfunction’; Annie Potts, Victoria Grace, Nicola Gavey, Tiina Vares